Pour comprendre où on va, il faut savoir d'où on vient - en 89 - Foulard islamique : « Profs, ne capitulons pas ! » (Le Nouvel Observateur, 2 nov. 89)

Petit retour en arrière, en 1989, il y a 31 ans ! J'ai entendu Pascal Praud en lire une partie.
Un sujet de discussion, une lettre ouverte de philosophes au ministre de l'éducation de l'époque.

C'était il y a 31 ans et en entendant des témoignages de certains Profs sur ce qu'ils vivaient je trouve que c'est encore de l'air du Temps, et même un chouilla prémonitoire.
A lire et à débattre entre gens de bonne volonté, entre personnes à l'esprit ouvert.

Je cite juste une partie:

Négocier, comme vous le faites, en annonçant que l’on va céder, cela porte un nom : capituler. Une telle « diplomatie » ne fait qu’enhardir ceux-là mêmes qu’elle se propose d’amadouer –et s’ils demandent demain que l’étude des Rushdie (Spinoza, Voltaire, Baudelaire, Rimbaud…) qui encombrent notre enseignement soit épargnée à leurs enfants, comment le leur refuser ? Par l’exclusion ?

Foulard islamique : « Profs, ne capitulons pas ! » (Le Nouvel Observateur, 2 nov. 89)

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Note: JE trouvais le CLR un peu trop vindicatif, mais après l'avoir relu 2x, en fait non ... dans leur billet sur l’assassinat islamiste de M. Samuel Paty: Mort pour la France (CLR, 17 oct. 20).

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