CNRS Lejournal - Une anthropologie de l’invisible

Soit c'est WOW ou soit c'est WOW, mais au final wow.

Le physicien Camille Flammarion assiste à une séance de spiritisme, le 27 juillet 1897, à Montfort-l’Amaury (78). Il raconte dans « Les forces naturelles inconnues » cette première expérience avec la médium Eusapia Paladino (au centre), dont il maintient les jambes et les pieds pour s’assurer de l’absence de supercherie. Et la table lévita cinq fois...

« Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance. » ... HoupaHⓒ !
J'ai bien aimé la table "détecteur d'action musculaire"

 

Une anthropologie de l’invisible

Le physicien Camille Flammarion assiste à une séance de spiritisme, le 27 juillet 1897, à Montfort-l’Amaury (78).
lejournal.cnrs.fr

Deuxième extrait que j'ai aimé (Grégory Delaplace)

En fait je ne me suis pas posé la question de savoir si les fantômes existent ou s’ils n’existent pas, mais « comment » ils existent. En Mongolie, ils se manifestent par exemple par des tintements de cloches, des odeurs de cuisine au milieu de la steppe, des lumières dans le ciel ; en Angleterre, ils prennent plutôt la forme de figures féminines, de silhouettes qui se tiennent à côté du lit, ou bien on les entend car ils frappent des coups particulièrement forts sur les murs.

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