Dans la série « l'Homme réparé ».
« Au-delà de la couleur de peau, la greffe bio-imprimée devra aussi évoluer sur le développement des poils et des glandes, des pores de la peau, etc. », continue le chercheur. « Sur les grands brûlés, par exemple, tout le système vasculaire est aussi détruit. L’autogreffe permet de revasculariser la peau. »
L’essai clinique devrait commencer d’ici à 6 mois. Si les résultats et les coûts bénéfices / risques sont concluants, il devrait être possible d’envisager les premières greffes d’ici 5 à 10 ans. Quant au coût de ces greffes via des imprimantes 3D, il n’a, pour l’heure, pas été communiqué. Contactée à de nombreuses reprises, l’entreprise Poietis n’a pas donné suite à nos demandes d’interviews.