Sur un fond sonore: « Tu .. tu du ... tu, tuuuu, tu du ... tudutudu ... » au niveau bactérien. Sacrée resistance !
Les meneurs de l’étude ont affirmé que la bactérie aurait pu vivre entre 15 et 45 années à l’extérieur de l’ISS. Le fait est que celle-ci est capable de réparer son propre ADN indéfiniment après avoir subi des dommages. Il s’agit là d’un mécanisme lui permettant de ressusciter quelques heures après sa mort.
Source: sciencepost.fr