Dingue le nombre de collisions pour y arriver !
Et plus de 6 milliards de collisions, ce travail de fourmi a enfin porté ses fruits. Dans une étude publiée dans le prestigieux journal Nature, les auteurs ont fièrement annoncé avoir repéré la signature caractéristique de 16 noyaux d’antihyperhydrogène-4 dans leur réacteur. Avec quatre antiparticules au compteur – un antiproton, deux antineutrons et un antihyperon -, il s’agit du noyau d’antimatière le plus lourd jamais observé.
Voici l’antihyperhydrogène-4, le noyau d’antimatière le plus lourd jamais identifié
journaldugeek.com
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