C'est théoriquement (pas encore testé sur des organes, juste sur des tissus de 50 ml de volume) presque possible
- grâce à des nanoparticules d’oxyde de fer enrobées de silice
- pré insérées dans le dit tissu,
- et qui permettent de chauffer rapidement par induction,
- sans formation de cristaux de glaces (qui font exploser la cellule).
Cf "Improved tissue cryopreservation using inductive heating of magnetic nanoparticles" dans sciencemag
Bref, ils espèrent pouvoir déjà l'utiliser à terme pour les transplantations d'organes, dont la perte pour faute de conservation assez longue entre un donneur et un receveur compatible peut avoisiner 60% pour les cœurs !
Bon ben il y a encore du taf pour arriver à faire cela sur un organe, mais c'est une avancée !
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